lunes, 31 de octubre de 2011

La venganza hippie


Manuel García Estrada/Milenio/

Hoy más que nunca esta columna cumple su cometido de ser burla permanente de la posmodernidad de la que tanto se vanagloria el neoliberalismo económico que incluye religiosidad conservadora y fascismo bélico represor; lo cumple porque ante la brutal caída del sistema financiero mundial su cultura impuesta está ya en el viaje agónico hacia su final.

Hoy se ha estado revalorando lo humano, desde los indignados de España y Wall Street hasta los acampados en la Bolsa Mexicana de Valores así como los movimientos a favor de la libertad de expresión en Veracruz. Lo humano es la posibilidad de existir en libertad porque cuando no hay libertad el sentido humano se pierde colocando a los homo sapiens en un nivel de homo esclavus que equivale a ganado. Se revalora lo que da sentido e implica la identidad que no es más que cultura familiar, comunitaria, nacional, historia personal y social. Vienen ganando el concepto de nación, diversidad, heterogeneidad, democracia; lo contrario es la putrefacción de la convivencia.

El desafío debe ser mayor a lo establecido, a las instituciones, que caen a pedazos porque se convirtieron en maquinaria de corrupción al servicio de unos pocos que a través de los medios masivos de propaganda y las religiones esclavizan a todos haciendo que no se dude de nada a través de la sistemática dogmatización que día a día nos invade. El combate a todos los paradigmas es lo que define a esta época en donde el cuestionamiento sobre democracia es global, no hay ser humano informado que no esté pensando en lo justo o injusto de lo que vivimos, es un gran despertar.

En este cisma histórico se fortalece el conocimiento aplicado y el “pagano” que la ciencia moderna está conectando con la física cuántica, la química, la psiquiatría, neurología y psicología  del que ya muchos están conscientes, más de los que creemos, llevando a los pueblos originales, sean mazahuas, otomíes, mapuches, huicholes, apaches o celtas a la palestra mundial que son capaces de mostrarnos con sus cosmovisiones un universo plagado de verdades que el materialismo supra capitalista ha querido ocultar. El neoliberalismo o capitalismo salvaje, que tiene bastante de positivismo del siglo XIX, se equivoca cada día porque valora sólo a lo tangible cuando lo que más existe en el cosmos es justamente lo contrario. Por ello la fuerza de las nuevas teorías y aplicaciones de la física en donde todo lo que creíamos como real se desvanece ante las nuevas dudas y fenómenos que los científicos descubren.

La expansión de la conciencia avanza día a día, los gobiernos locales y el económico global se aterran, por ello el aumento de la represión, el miedo y la confusión en la propaganda, por ello el enorme gasto en campañas políticas y de financiación de las iglesias. Están luchando por mantenernos dormidos y en la oscuridad. No quieren que pensemos y desean que critiquemos al que lo haga para mantener intacto el imperio de la mediocridad, quieren que sigamos viendo bien al abuso, la violencia, el sojuzgamiento, al machismo; premian a los lamebotas y agachados corruptos con cargos públicos, direcciones de empresas o puestos eclesiásticos para ser capataces leales a estos cleptócratas  que creen que es posible comprar tierras para hacer negocios aunque destruyan tradición, filosofía, patrimonio como en Wirikuta, México o en Hidroaysen, Chile.

Hoy la posmodernidad ha muerto y con ella la relativización del bien o mal que permitían robar, matar y abusar porque todos se podían justificar de las barbaries cometidas. Parece que efectivamente la venganza hippie ha llegado y los jóvenes del ‘68 empiezan a ver su triunfo que no significa ganar elecciones sino mover conciencias. 

sábado, 29 de octubre de 2011

La possibilité de tout ou #15O

Manuel García Estrada


La possibilité de tout.
Je n'ai jamais pensé à la possibilité de tous, je pense tout le contraire, au pouvoir à tout.
Lorsque je lis et je vois dans les médias tous les déchets qu'ils nous donnent tout simplement décidé d'éteindre la télé, arrêter d'écouter l'orateur et me trouver un bon livre. Evidemment cela ne suffit pas d'être intelligent parce que la connaissance des livres est d'offrir la sagesse et il ya ceux qui sont sages, mais sont incapables de résoudre les problèmes dans leur vie quotidienne et aussi avoir une âme petite et faible qui se plie aux intérêts des puissants.
Mais la connaissance est partagée et appliquée tend à bloquer l'entreprises, car elle est, comme l'économie, quelque chose qui doit être vivant pour produire de bonnes choses.
Aujourd'hui, quand je vois beaucoup de gens dans beaucoup de nations se réveiller et prendre la rue je me rends compte qu'il ya un énorme besoin de croire en tout ce qui est du pouvoir du peuple, le pouvoir de la paix, la puissance de l'intelligence etraisons. Je sais que de cette manière seront ceux qui nous appellent fou, romantique, rêveuse, naïve, mais je préfère être un imbécile, un romantique, un rêveur et un pourri vieil esprit naïf qui est placé au pied de l'imposant d'obéir en silence, je préfère être un rêveur qu'un médiocre.
Ce sont des temps de reprendre le pouvoir en tant que peuple, sont des temps que nous devons promouvoir des avancées substantielles dans la culture, l'éducation, la vision du monde, la construction de la nouvelle société. Peut-être les hommes et les femmes du monde ont toujours placé dans le rôle d'agents de changement ne sont pas suffisants pour transformer l'humanité à 100% mais ce qui est fait avec leurs rêves et leurs impulsions sont ceux qui ont réussi à faire des droits humains commencent Voyage dans le monde, sont ceux qui ont été placées sur l'agenda mondial des questions environnementales, la lutte contre la pauvreté, le besoin d'éducation publique, laïque et gratuite pour tous, le libre accès à la technologie et du commerce équitable.
La bonne chose que l'humanité a maintenant grâce aux rêveurs, les fous, les visionnaires, qui ont contesté les dispositions qui ont été audacieux dans leurs actions et leurs pensées. C'est bien que nous avons donné n'est pas quelque chose qui est facile à réaliser mais c'est juste la facilité du mal au pouvoir lorsque la décision est basée sur des mensonges envahir des pays, tue des gens, vole la richesse des nations Nous sommes fatigués de tous ces abus et nous devons suivre dans les rues, dans le net, dans les écoles et les lieux exigeants quelque chose qui nous concerne tous: liberté, démocratie, justice, paix, l'équité, la technologie et surtout la demande que notre rêves.
Ce sont des temps de reprendre le pouvoir en tant que peuple, sont des temps que nous devons promouvoir des avancées substantielles dans la culture, l'éducation, la vision du monde, la construction de la nouvelle société. Peut-être les hommes et les femmes du monde ont toujours placé dans le rôle d'agents de changement ne sont pas suffisants pour transformer l'humanité à 100% mais ce qui est fait avec leurs rêves et leurs impulsions sont ceux qui ont réussi à faire des droits humains commencent Voyage dans le monde, sont ceux qui ont été placées sur l'agenda mondial des questions environnementales, la lutte contre la pauvreté, le besoin d'éducation publique, laïque et gratuite pour tous, le libre accès à la technologie et du commerce équitable.
La bonne chose que l'humanité a maintenant grâce aux rêveurs, les fous, les visionnaires, qui ont contesté les dispositions qui ont été audacieux dans leurs actions et leurs pensées. C'est bien que nous avons donné n'est pas quelque chose qui est facile à réaliser mais c'est juste la facilité du mal au pouvoir lorsque la décision est basée sur des mensonges envahir des pays, tue des gens, vole la richesse des nations Nous sommes fatigués de tous ces abus et nous devons suivre dans les rues, dans le net, dans les écoles et les lieux exigeants quelque chose qui nous concerne tous: liberté, démocratie, justice, paix, l'équité, la technologie et surtout la demande que notre rêves.
Pendant de nombreuses années j'ai été un professeur d'université et maintenant quand les gens commencent à gris de ma tête et la fatigue physique me fait pas passer des heures ou des jours à des protestations dans le monde que je peux écrire ou de collaborer avec ce que je peux dire à tous les hommes et les femmesqui veulent changer cela est possible, ce qui n'est apparemment pas beaucoup, mais la réalité est que nous pouvons améliorer le monde et que dans les deux puissance économique et religieuse a été consacrée à nous dire que nous ne pouvons rien faire pour améliorer notre humanité ancienne, car ils voient si vieux, mais je pense que nous ne pouvons pas continuer à marcher sur cette route nous voyageons tous les porteurs du passé, le passé n'existe plus, donc je pense que nous avons besoin de refroidir la planète avec de nouveaux rêves, de nouvelles idées, de nouvelles étapes vers nos plus nobles aspirations et louable.
Aujourd'hui, je trouve que beaucoup de mes élèves à rester à la recherche de valeurs les plus élevées de la journée l'humanité lutte pour jour, je sais que beaucoup de ceux qui ont reçus ont été vivant sous la répression et l'oppression, mais lorsqu'ils sont confrontés à un test où vous avez à choisir la voie du droit à l'avoir fait malgré la perte de leur emploi ou leur apporter fou, ou stupide romantique. Je suis profondément fier de ceux qui sont restés dans le puits et donner à la lutte, car c'est avec eux que nous avons à rendre ce monde un meilleur endroit où vivre.
Ce site nécessite que chacun soit heureux, il a besoin de jeunes de tous âges pour que nous puissions nous donner tous les mille sourires chaque jour tout notre créativité explose de couleurs remplissant le cosmos. C'est possible. Ils ne les hippies et les étudiants dans les années 60, les révolutionnaires du sexe dans les années 70. Nous avons perdu précieuses années sous l'oppression du capitalisme sauvage, mais nous avons maintenant l'opportunité de reprendre le chemin pour accéder à une ère de paix véritable dans le monde où il ya un état policier, mais un état de bien-être.
Je pense que nous avons tous 99% de chance de faire ce pas une époque de changement mais un changement de temps, il est temps de croire en nous et approuver qu'il est préférable de croire en la possibilité de tout.

La possibilità di tutto o il #15o

Manuel García Estrada


La possibilità di tutto.
Non ho mai pensato alla possibilità di tutti, penso piuttosto il contrario, al potere a tutti.
Quando ho letto e vedere nei media tutta la spazzatura che ci danno appena deciso di spegnere la TV, interrompi l'ascolto a chi parla a prendermi un buon libro.Ovviamente questo non basta essere intelligenti, perché la conoscenza dei libri è di fornire la saggezza e ci sono quelli che sono saggi, ma non sono in grado di risolvere i problemi nella loro vita quotidiana e hanno anche un'anima piccola e debole che si piega agli interessi dei potenti.
Ma la conoscenza è condivisa e applicata tende a stallo le aziende perché è, come l'economia, qualcosa che deve essere vivo per produrre cose buone.
Oggi, quando vedo tante persone in molte nazioni svegliarsi e scendere in piazza mi rendo conto che c'è un enorme bisogno di credere in tutto ciò che è il potere del popolo, il potere della pace, il potere di intelligenza e ragioni. So che in questo modo saranno quelli che chiamano noi pazzi, romantica, sognatrice, ingenua ma preferirei essere uno sciocco, un romantico, un sognatore e un marcio vecchia mente ingenua che viene posto ai piedi del potente di obbedire in silenzio, preferisco essere un sognatore che un mediocre.
Questi sono tempi per riconquistare il potere come popolo, sono momenti che dobbiamo promuovere progressi sostanziali nella cultura, l'istruzione, la visione del mondo, la costruzione della nuova società. Forse gli uomini e le donne del mondo hanno sempre posto nel ruolo di agenti del cambiamento non sono sufficienti a trasformare l'umanità al 100%, ma ciò che viene fatto con i loro sogni e impulsi sono quelli che sono riusciti a rendere i diritti umani iniziano viaggiare per il mondo, sono quelle che sono state iscritte all'ordine del giorno globale delle questioni ambientali, la lotta contro la povertà, il bisogno di istruzione pubblica, laica e gratuita per tutti, libero accesso alla tecnologia e del commercio equo.
La cosa buona che l'umanità ha ora grazie alla sognatori, gli sciocchi, i veggenti, che hanno sfidato le disposizioni che sono state audaci nelle loro azioni e pensieri.Che il bene che abbiamo dato non è qualcosa che è facilmente ottenibile, ma si tratta solo di quanto sia facile dal male al potere quando una decisione si basa su menzogne ​​invadono paesi, uccide le persone, ruba la ricchezza delle nazioni .Siamo stanchi di tutto questo abuso e dobbiamo seguire nelle strade, in Rete, nelle scuole e nei luoghi esigente qualcosa che ci riguarda tutti: libertà, democrazia, giustizia, pace, equità, la tecnologia e, soprattutto, chiediamo che i nostri sogni.
Questi sono tempi per riconquistare il potere come popolo, sono momenti che dobbiamo promuovere progressi sostanziali nella cultura, l'istruzione, la visione del mondo, la costruzione della nuova società. Forse gli uomini e le donne del mondo hanno sempre posto nel ruolo di agenti del cambiamento non sono sufficienti a trasformare l'umanità al 100%, ma ciò che viene fatto con i loro sogni e impulsi sono quelli che sono riusciti a rendere i diritti umani iniziano viaggiare per il mondo, sono quelle che sono state iscritte all'ordine del giorno globale delle questioni ambientali, la lotta contro la povertà, il bisogno di istruzione pubblica, laica e gratuita per tutti, libero accesso alla tecnologia e del commercio equo.
La cosa buona che l'umanità ha ora grazie alla sognatori, gli sciocchi, i veggenti, che hanno sfidato le disposizioni che sono state audaci nelle loro azioni e pensieri.Che il bene che abbiamo dato non è qualcosa che è facilmente ottenibile, ma si tratta solo di quanto sia facile dal male al potere quando una decisione si basa su menzogne ​​invadono paesi, uccide le persone, ruba la ricchezza delle nazioni .Siamo stanchi di tutto questo abuso e dobbiamo seguire nelle strade, in Rete, nelle scuole e nei luoghi esigente qualcosa che ci riguarda tutti: libertà, democrazia, giustizia, pace, equità, la tecnologia e, soprattutto, chiediamo che i nostri sogni.
Per molti anni sono stato docente universitario e ora quando la gente comincia a grigio la mia testa e stanchezza fisica non mi fa passare ore o giorni a proteste del mondo che posso scrivere o collaborare con quello che posso dire a tutti gli uomini e le donne che vogliono cambiare questo è possibile, che a quanto pare non è molto ma la realtà è che possiamo migliorare il mondo e che in entrambi i potere economico e religioso è stata dedicata a dirci che non possiamo fare nulla per migliorare la nostra umanità vecchio perché vedono così vecchio, ma penso che non possiamo continuare a camminare su questa strada viaggiamo tutti con il passato, il passato non esiste più, quindi penso che abbiamo bisogno di raffreddare il pianeta con nuovi sogni, nuove idee, nuove passi verso le nostre aspirazioni più nobili e lodevoli.
Oggi trovo che molti dei miei studenti alloggiano nella ricerca di valori più alti del giorno l'umanità lotta per giorno, so che molti che hanno ricevuto hanno vissuto sotto la repressione e l'oppressione, ma di fronte a una prova in cui devi scegliere il modo del diritto ad averlo fatto, nonostante che perdono il lavoro o portarli pazzo, o sciocco romantico. Sono profondamente orgoglioso di coloro che sono rimasti nel bene e dare alla lotta, perché è con loro che dobbiamo rendere questo mondo un posto migliore in cui vivere.
Questo sito richiede a tutti di essere felice, ha bisogno di giovani di tutte le età in modo che possiamo darci tutti i mille sorrisi tutti i giorni mentre la nostra creatività esplode colori compilando il cosmo. E 'possibile. Hanno fatto gli hippy e gli studenti negli anni 60, i rivoluzionari del sesso negli anni 70. Abbiamo perso anni preziosi sotto l'oppressione del capitalismo selvaggio, ma ora abbiamo l'opportunità di riprendere il percorso per passare a un'era di vera pace nel mondo dove c'è uno stato di polizia, ma uno stato di benessere.
Penso che tutti noi abbiamo il 99% la possibilità di fare questo, non un momento di cambiamento ma un cambiamento di tempo, è il momento di credere in noi stessi e approvare che è meglio credere nella possibilità di tutto.

The possibility of all or the #15O


Manuel García Estrada

The possibility of all.


I never thought about the possibility of all, I think quite the opposite, in power at all.

When I read and see in the media all the garbage they give us just decided to turn off the TV, stop listening to the speaker and get me a good book. Obviously that's not enough to be smart because the knowledge of books is to provide wisdom andthere are those who are wise but are unable to solve problems in their daily livesand also have a small and weak soul that folds to the interests of the powerful.

But knowledge is shared and applied tends to stall the companies because it is, as the economy, something that needs to be alive to produce good things.

Today, when I see many people in many nations wake up and take to the streets I realize that there is a huge need to believe in all that is the power of the people, the power of peace, the power of intelligence and reasons. I know that in this way will be those who call us crazy, romantic, dreamy, naive but I'd rather be a fool, a romantic, a dreamer and a rotten old naive mind that is placed at the foot of the mighty to obey in silence, I prefer to be a dreamer than a mediocre. 

These are times to regain power as a people, are times that we must promote substantial advances in culture, education, world view, the construction of the new society.
 Perhaps men and women of the world have always placed in the role of change agents are not enough to transform humanity 100% but what is done with their dreams and impulses are those who have succeeded in making human rights begin travel the world, are those that have been placed on the global agenda of environmental issues, combating poverty, the need for public education, secular and free for all, free access to technology and fair trade. 

The good thing that humanity has now thanks to the dreamers, fools, the visionaries, who have challenged the provisions that have been bold in their actions and thoughts.
 That good that we have given is not something that is easily achieved but it is just how easy it from evil in power when a decision is based on lies invade countries, kills people, steals the wealth of nations . We are tired of all this abuse and we must follow in the streets, in the Net, in schools and places demanding something that concerns us all: freedom, democracy, justice, peace, equity, technology and above all demand that our dreams come true.
For many years I was a university teacher and now when people begin to gray my head and physical tiredness makes me not spend hours or days at the world's protests that I can write or collaborate with what I can to tell all men and women who want to change this is possible, which apparently is not much but the reality is we can improve the world and that in both economic and religious power has been devoted to telling us that we can do nothing to improve our old humanity becausethey see so old, but I think that we can not keep walking on this road we travel all carrying the past, the past no longer exists, so I think we need to cool the planet with new dreams, new ideas, new steps toward our noblest aspirations and laudable.

Today I find that many of my students stay in the search for the highest values ​​of humanity struggling day to day, I know many who have received have been living under repression and oppression but when faced with a test where you have to choose the way of right to have done so despite losing their jobs or bring them crazy, or foolish romantic. I am deeply proud of those who have remained in the well and give the fight because it is with them that we have to make this world a better place to live.

This Site requires everyone to be happy, it needs young people of all ages so that we can give us all a thousand smiles every day while our creativity explodes colors filling the cosmos. It's possible. They did the hippies and students in the 60, the revolutionaries of sex in the 70. We lost valuable years under the oppression of savage capitalism, but we now have the opportunity to retake the path to move to an era of true peace in the world where there is a police state but a state of well being.


I think we all have 99% chance to make this not a time of change but a change oftime, it's time to believe in ourselves and endorse that it is better to believe in the possibility of all.

La possibilitat de Tot o el #15O


Manuel García Estrada

La possibilitat de Tot.

Mai he pensat en la possibilitat del no-res, crec que absolutament en el contrari, en el poder del tot.

Quan llegeixo i veig en els mitjans de comunicació totes les escombraries que ens donen simplement decideixo apagar la televisió, deixar d'escoltar el locutor i aconseguir-un bon llibre. Òbviament això no és suficient per poder ser intel · ligent perquè el coneixement que ofereixen els llibres és per la saviesa i hi ha qui són savis però són incapaços de solucionar problemes en la seva vida quotidiana i que a més tenen una ànima petita i feble que es plega als interessos dels poderosos.

El coneixement sinó es comparteix i s'aplica tendeix a estancar a les societats perquè és, com l'economia, alguna cosa que necessita estar viu per a produir coses bones.

Avui, quan veig a molta gent en moltes nacions despertar i prendre els carrers m'adono que hi ha una enorme necessitat de creure en el tot que és el poder de la gent, el poder de la pau, el poder de la intel · ligència i de les raons. Sé que en aquest camí hi haurà qui ens diguin bojos, romàntics, somiadors, ingenus però prefereixo ser un boig, un romàntic, un somiador i un ingenu a un podrit vell mental que es col · loca als peus del poderós obeint en silenci, jo prefereixo ser un somiador que un mediocre.

Aquests són temps de reprendre el poder com a poble, són temps en què hem de propiciar avenços substancials en la cultura, l'educació, la visió del món, la construcció de la nova societat. Potser els homes i dones del món que sempre de han col · locat en el paper d'agents de canvi no arriben transformar la humanitat al 100% però el que s'aconsegueix amb els seus somnis i impulsos són els que han aconseguit fer que els drets humans comencin a recórrer l'orbe, són els que han col · locat en l'agenda mundial els assumptes ambientals, el combat a la pobresa, la necessitat d'educació pública, laica i gratuïta per a tots, l'accés lliure a la tecnologia i el comerç just.


El millor que la humanitat té ara és gràcies als somiadors, als bojos, als visionaris, als quals han desafiat el que estableix i que han estat audaços en les seves accions i pensaments. Aquest bé que ens han donat no és una cosa que s'hagi aconseguit fàcilment però és just el fàcil el que ve del mal en el poder quan amb una decisió basada en mentides es envaeixen països, s'assassina a la gent, es roba la riquesa de pobles . Estem ja cansats de tot aquest abús i per això hem de seguir als carrers, en la Net, en les escoles i places exigint una cosa que a tots ens afecta: llibertat, democràcia, justícia, pau, equitat, tecnologia i sobretot exigir que els nostres somnis es facin realitat.

Aquests són temps de reprendre el poder com a poble, són temps en què hem de propiciar avenços substancials en la cultura, l'educació, la visió del món, la construcció de la nova societat. Potser els homes i dones del món que sempre de han col · locat en el paper d'agents de canvi no arriben transformar la humanitat al 100% però el que s'aconsegueix amb els seus somnis i impulsos són els que han aconseguit fer que els drets humans comencin a recórrer l'orbe, són els que han col · locat en l'agenda mundial els assumptes ambientals, el combat a la pobresa, la necessitat d'educació pública, laica i gratuïta per a tots, l'accés lliure a la tecnologia i el comerç just.

El millor que la humanitat té ara és gràcies als somiadors, als bojos, als visionaris, als quals han desafiat el que estableix i que han estat audaços en les seves accions i pensaments. Aquest bé que ens han donat no és una cosa que s'hagi aconseguit fàcilment però és just el fàcil el que ve del mal en el poder quan amb una decisió basada en mentides es envaeixen països, s'assassina a la gent, es roba la riquesa de pobles . Estem ja cansats de tot aquest abús i per això hem de seguir als carrers, en la Net, en les escoles i places exigint una cosa que a tots ens afecta: llibertat, democràcia, justícia, pau, equitat, tecnologia i sobretot exigir que els nostres somnis es facin realitat.


Durant molts anys vaig ser mestre d'universitat i ara quan els cabells blancs comencen a poblar el meu cap i el cansament físic em fa no estar hores o dies en les protestes del món escric el que puc o col · laboro amb el que puc per dir a tots els homes i dones que volen el canvi que aquest és possible, que aparentment no es fa molt però la realitat és si podem millorar el món i que en el poder tant econòmic com religiós s'han dedicat a dir-nos que no podem fer res per millorar a la nostra vella humanitat perquè ells la veuen així, vella, però em sembla que nosaltres no podem seguir caminant en aquest camí que recorrem tots carregant el passat, el passat ja no existeix, i per això crec que hem de refrescar el planeta amb nous somnis, noves idees, nous passos cap a les nostres aspiracions més nobles i lloables.

Avui trobada que molts dels meus estudiants romanen en la recerca dels valors més alts de la humanitat lluitant dia a dia, sé de molts que han rebut repressió i han viscut sota opressió però quan s'enfronten a una prova on s'ha de triar el camí del correcte ho han fet tot i que perdin la feina o que els assenyalin de bojos, romàntics o ximples. Jo em sento profundament orgullós dels que s'han mantingut en el bé i que donen la baralla perquè és amb ells amb qui comptem per fer d'aquest món un millor lloc per viure.

Aquesta Humanitat necessita de tots per estar feliç, necessita dels joves de totes les edats perquè puguem brindar tots mil somriures cada dia mentre la nostra creativitat explota omplint de colors al cosmos. És possible. Ja ho van fer els hippies i els estudiants en els 60, els revolucionaris del sexe en els 70. Vam perdre valuosos anys sota l'opressió del capitalisme salvatge però tenim ara l'oportunitat de reprendre el camí per transitar a una època de veritable pau al món on no hi hagi un Estat policia sinó un Estat de benestar.

Jo crec que tots els que som el 99% tenim l'oportunitat de fer que aquesta no sigui una època de canvis sinó un canvi d'època, és hora de creure en nosaltres mateixos i ratificar que és millor creure en la possibilitat de Tot.

La posibilidad de Todo o el #15o


Manuel García Estrada

La posibilidad de Todo.

Jamás he pensado en la posibilidad de la nada, creo que absolutamente en lo contrario, en el poder del todo.

Cuando leo y veo en los medios de comunicación toda la basura que nos dan simplemente decido apagar la televisión, dejar de escuchar al locutor y conseguirme un buen libro. Obviamente eso no es suficiente para poder ser inteligente porque el conocimiento que brindan los libros es para la sabiduría y hay quienes son sabios pero son incapaces de solucionar problemas en su vida cotidiana y que además tienen un alma pequeña y débil que se pliega a los intereses de los poderosos.

El conocimiento sino se comparte y se aplica tiende a estancar a las sociedades porque es, como la economía, algo que necesita estar vivo para producir cosas buenas.

Hoy, cuando veo a mucha gente en muchas naciones despertar y tomar las calles me doy cuenta que hay una enorme necesidad de creer en el todo que es el poder de la gente, el poder de la paz, el poder de la inteligencia y de las razones. Sé que en este camino habrá quienes nos llamen locos, románticos, soñadores, ingenuos pero prefiero ser un loco, un romántico, un soñador y un ingenuo a un podrido viejo mental que se coloca a los pies del poderoso obedeciendo en silencio, yo prefiero ser un soñador que un mediocre.

Estos son tiempos de retomar el poder como pueblo, son tiempos en que debemos propiciar avances sustanciales en la cultura, la educación, la visión del mundo, la construcción de la nueva sociedad. Quizás los hombres y mujeres del mundo que siempre de han colocado en el papel de agentes de cambio no alcanzan transformar a la humanidad al 100% pero lo que se logra con sus sueños e impulsos son los que han logrado hacer que los derechos humanos comiencen a recorrer el orbe, son los que han colocado en la agenda mundial los asuntos ambientales, el combate a la pobreza, la necesidad de educación pública, laica y gratuita para todos, el acceso libre a la tecnología y el comercio justo.

Lo bueno que la humanidad tiene ahora es gracias a los soñadores, a los locos, a los visionarios, a los que han desafiado lo establecido y que han sido audaces en sus acciones y pensamientos. Ese bien que nos han dado no es algo que se haya conseguido fácilmente pero es justo lo fácil lo que viene del mal en el poder cuando con una decisión basada en mentiras se invaden países , se asesina a la gente, se roba la riqueza de pueblos. Estamos ya cansados de todo ese abuso y por ello debemos seguir en las calles, en la Net, en las escuelas y plazas exigiendo algo que a todos nos atañe: libertad, democracia, justicia, paz, equidad, tecnología y sobre todo exigir que nuestros sueños se hagan realidad.

Estos son tiempos de retomar el poder como pueblo, son tiempos en que debemos propiciar avances sustanciales en la cultura, la educación, la visión del mundo, la construcción de la nueva sociedad. Quizás los hombres y mujeres del mundo que siempre de han colocado en el papel de agentes de cambio no alcanzan transformar a la humanidad al 100% pero lo que se logra con sus sueños e impulsos son los que han logrado hacer que los derechos humanos comiencen a recorrer el orbe, son los que han colocado en la agenda mundial los asuntos ambientales, el combate a la pobreza, la necesidad de educación pública, laica y gratuita para todos, el acceso libre a la tecnología y el comercio justo.


Lo bueno que la humanidad tiene ahora es gracias a los soñadores, a los locos, a los visionarios, a los que han desafiado lo establecido y que han sido audaces en sus acciones y pensamientos. Ese bien que nos han dado no es algo que se haya conseguido fácilmente pero es justo lo fácil lo que viene del mal en el poder cuando con una decisión basada en mentiras se invaden países , se asesina a la gente, se roba la riqueza de pueblos. Estamos ya cansados de todo ese abuso y por ello debemos seguir en las calles, en la Net, en las escuelas y plazas exigiendo algo que a todos nos atañe: libertad, democracia, justicia, paz, equidad, tecnología y sobre todo exigir que nuestros sueños se hagan realidad.



Durante muchos años fui maestro de universidad y ahora cuando las canas comienzan a poblar mi cabeza y el cansancio físico me hace no estar horas o días en las protestas del mundo escribo cuanto puedo o colaboro con lo que puedo para decirles a todos los hombres y mujeres que desean el cambio que este es posible, que aparentemente no se hace mucho pero la realidad es sí podemos mejorar al mundo y que en el poder tanto económico como religioso se han dedicado a decirnos que no podemos hacer nada por mejorar a nuestra vieja humanidad porque ellos la ven así, vieja, pero me parece que nosotros no podemos seguir caminando en este camino que recorremos todos cargando el pasado, el pasado ya no existe, y por eso creo que debemos de refrescar al planeta con nuevos sueños, nuevas ideas, nuevos pasos hacia nuestras aspiraciones más nobles y loables.


Hoy encuentro que muchos de mis estudiantes permanecen en la búsqueda de los valores más altos de la humanidad luchando día a día, sé de muchos que han recibido represión y han vivido bajo opresión pero cuando se enfrentan a una prueba en donde hay que elegir el camino de lo correcto lo han hecho pese a que pierdan su empleo o que los señalen de locos, románticos o tontos. Yo me siento profundamente orgulloso de los que se han mantenido en el bien y que dan la pelea porque es con ellos con quienes contamos para hacer de este mundo un mejor lugar para vivir.


Esta Humanidad necesita de todos para estar feliz, necesita de los jóvenes de todas las edades para que podamos brindarnos todos mil sonrisas cada día mientras nuestra creatividad explota llenando de colores al cosmos. Es posible. Ya lo hicieron los hippies y los estudiantes en los 60, los revolucionarios del sexo en los 70. Perdimos valiosos años bajo la opresión del capitalismo salvaje pero tenemos ahora la oportunidad de retomar el camino para transitar a una época de verdadera paz en el mundo en donde no haya un Estado policía sino un Estado de bien estar.


Yo creo que todos los que somos el 99% tenemos la oportunidad de hacer que esta no sea una época de cambios sino un cambio de época, es hora de creer en nosotros mismos y refrendar que es mejor creer en la posibilidad de Todo.






jueves, 27 de octubre de 2011

El arribo al siglo XXI.


Manuel García Estrada

En los últimos meses ha arreciado el debate en torno a la justicia social que emana del sistema financiero porque millones de personas en el mundo se han dado cuenta que ese poder, hasta hace poco incuestionado, que es el dinero y la manera en que se crea, está al servicio de unos cuantos en detrimento de las mayorías planetarias.

El cuento que se ha inventado para esclavizar no es nuevo, se ha creado una estructura social en torno a la economía con anestesia, todo debate que hable de la injusticia socio económica está por encima de ideologías neoliberales, neomarxistas, neo lo que sea porque se ha querido olvidar, también para el beneficio de unos cuantos, a la ética y a la moral. Esas que también han sido manipuladas por la religión y sus falsos ídolos.

La justicia no puede tener versión marxista o friedmaniana porque ambas maneras de explicar y operar al mundo manosean el concepto para entronizar en el poder a los sujetos que supuestamente liberan al mundo de sus males. Es decir, siguen el ejemplo de un dios redentor que salva a la humanidad. Cuentos para niños que ya no estamos en la etapa de creer como sociedad moderna y madura pero la mentira y el engaño caben en la posmodernidad, que por cierto murió en el verano pasado cuando los indignados lograron movilizar al mundo, pero que a ellos les favorece mucho a través de la cultura de la relativización de lo correcto, incorrecto, bueno o malo.

Asesinar a alguien es algo malo, se daña a alguien y a su familia, a su entorno, a los sueños, a las mil posibilidades del ser, sin embargo los señores del poder quieren seguir relativizando sobre ellos y debaten sobre pena de muerte y sacan frases religiosas como “ojo por ojo, diente por diente” para explicar las atrocidades. Esos mismos señores son los mismos que cuando se debate sobre despenalización del aborto se rasgan las vestiduras para decir que un aborto es un asesinato.

La pena de muerte es la fatídica penalización sobre alguien en donde un grupo de sujetos se cree más bueno y moral que el juzgado y determinan asesinarlo. Es decir, se creen capaces de determinar si alguien debe continuar su vida o no.

El caso del aborto es distinto aunque nos quieren manipular con la moral religiosa, que dista bastante de la moral humana agnóstica, en este asunto los mismos jueces que pueden llevar a alguien a la inyección letal pretenden gobernar las acciones de un ser humano sobre su cuerpo.

La mujer tiene el derecho inalienable de decidir qué hacer con su embarazo ¿por qué? Muy sencillo, ella es la que tiene un desgaste emocional y físico en el proceso, ella es la sufrirá una deformación en su cuerpo y eso debe ser absolutamente una decisión en la cual asuma las responsabilidades de sus actos. Si la mujer desea vivir la experiencia asumirá pues todo lo que ello desencadene pero si decide que no lo hará ¿por qué debemos obligarla?

Habrá quienes salgan a decir que no hay quien hable por el embrión pero a ese mismo embrión de convertirse en persona no le dejarán realizar lo que quiera en su vida porque será sometido a dogmas, culpas, miedos y políticas injustas, para colmo no le creerán persona al cien por ciento porque no le permitirán elegir su destino a través del voto sino hasta los 18 o 21 años.  A ese mismo embrión no se le tenderá la mano en un sistema económico en donde nació para ser esclavo porque deberá pagar sus estudios, tener un trabajo mal remunerado, vivir en una casa de interés social de 80 metros cuadrados y lo engordarán con alimentos chatarra, le exigirán que cumpla reglas que en nada le mejoran y que por supuesto le hagan seguir siendo un pobre y triste esclavo sin derecho a opinar.

Si los que se colocan contra el aborto fueran los defensores a ultranza de los derechos democráticos, la justicia socio-económica, la educación pública, laica, gratuita, obligatoria; los que exigieran contenidos de calidad en los medios de comunicación, los que salieran a defender a las mujeres maltratadas, a los niños abusados por los pederastas entonces sí les creería su plataforma ideológica, filosófica y hasta religiosa pero es aberrante que se coloquen en la defensa de la “vida” antes de nacer pero sean comparsa de la vida patética de millones de seres humanos.

Nuestra sociedad, la humanidad, no debe ya estar en manos de políticos- economistas y religiosos que se crean dueños del planeta y lo quieran explicar desde sus perspectivas actuando exclusivamente a favor de ellos y sus alfiles porque eso es, por completo, nada democrático.

Los alfiles, todo ese conglomerado de mediocres, miedosos, lamebotas y borregos, son los mejores capataces del resto, son las marionetas de una élite que pone a las masas a cocinar el pastel, a los alfiles a dividirlo y ellos se quedan con la mayor parte diciendo que lo obtenido es justo para cada quien y como al alfil se le da un poco más que al esclavo éste cree que está mejor posicionado cuando en realidad es también un esclavo. Muchos de ellos son comentaristas de televisión, diputados, senadores, secretarios de Estado, funcionarios públicos, activistas religiosos laicos, charros sindicalistas (líderes corruptos de los trabajadores), estrellas de televisión, académicos o líderes de opinión que manipulan a la gente para que se plieguen a los intereses de los señores del dinero. Abundan, pululan, su bandera es la medianía, su cobijo es lo gris, su sangre es la envidia y su ideología es la conveniencia.

Los alfiles o capataces son personas con necesidad de reconocimiento, con problemas de autoestima y profunda necesidad de pertenencia, su escasa capacidad de madurez les lleva por el camino de lo fácil para no pensar, no reflexionar, sólo obedecer y gustan, como a los perros domesticados, que les den una galleta después de hacer una gracia. Ellos son los que se encargan de acallar al ciudadano reflexivo, al desafiante, al que ha decidido no permanecer en las ideas viejas y podridas.

Los alfiles o capataces son los esclavos más rastreros de los dogmas, atacan y bloquean al talento, a la inteligencia, al audaz, al que ve las cosas de manera distinta porque sabe que si la creatividad explota y lleva a todos lados nuevas ideas su endeble posición se verá arruinada. Por ello sostienen a lo que no desea moverse porque así, la élite, es capaz de seguir viviendo entre lujos mientras el resto vive entre humo, baches, basura, policía corrupta y pobreza. Siempre nos será más barato enviar a los alfiles a terapia para que obtengan autoestima a brindarles un lugar en un gobierno o empresa.

Cuando la libertad nace en la mente y su energía proviene del corazón tendremos humanos capaces de no condenar ni cercenar a las ideas. Los libres aceptan lo distinto porque se reconocen diferentes, ellos gritan y exigen, cuestionan y reflexionan, critican y son capaces de modificar la cultura o revolucionar la tecnología para que todos puedan acceder a un siguiente nivel que no es ni mejor ni inferior sino simplemente otra ruta hacia el objetivo de la felicidad que engloba justicia, solidaridad, equidad, paz verdadera, democracia.

La internet con sus redes sociales ha creado una comunicación entre los libres que se reproducen por centenas cada día mientras los alfiles apenas si pueden comprender el serio cambio en el que estamos inmersos y que desespera a la clase dominante que ya sabe que nos hemos dado cuenta de su abuso y que su fin se acerca y es cuando más peligro corren los pueblos.

Desde los tiempos antiguos en Grecia se padecía a los oligarcas que se colocaban como enemigos de la democracia, en los años 411 y 404 a.C. la represión hacia el pueblo fue brutal, tanto así que más allá de intentar controlarlos lo que hacían era exterminarlos. Esos 30 oligarcas o tiranos de Atenas, como los actuales en México, eran capaces de pactar con los espartanos y recibir dinero de ellos para sostenerse en el poder. En aquel tiempo cuando la democracia fue reinstaurada, año 403 a.C., se efectuó una política de reconciliación que aunque no fue perfecta era mucho más humana y liberadora.

La oligarquía o gobierno de los pocos es efectivamente lo antagónico a la democracia, por ello la oligarquía se puede vestir de Prada neoliberal o de Prada marxista, se acomoda y camuflajea  eliminando la posibilidad del libre pensamiento, de democracia verdadera, justicia y equidad. Cuando el oligarca impera hace que las instituciones estén a su servicio en lugar de estar al servicio de la gente.

De manera pragmática es notorio como el socialismo cubano o el neoliberalismo norteamericano sostienen a una casta que se pueden apellidar Castro o Rockefeller y que no quieren ser cuestionados echando al combate a sus alfiles que se dedican a defender religión o ideología que sostiene a esos déspotas en el poder sin darse cuenta que ellos se ríen de los golpeados o muertos resultantes. El oligarca es sociópata y al no valorar la existencia de los ciudadanos es capaz de decir toda clase de locuras.

Hace apenas unos días en Libia fue asesinado el oligarca de aquella nación africana, fue eliminado por los oligarcas de Occidente que son iguales o peores que él. Gadafi fue muerto después de ser capturado y cualquier sensato condenaría el hecho de que lo justo debió ser llevar a juicio al sociópata que ordenó la matanza de ciudadanos libios con tal de quedarse en el poder. Usó todos los argumentos posibles como sacar a la luz la corrupción del gobierno de Francia, que no nos sorprende, o decir que defendía la soberanía de su país… o ¿habrá querido decir feudo?

Con la muerte de Gadafi debemos reflexionar sobre el verdadero peligro para la democracia y como ellos, los oligarcas y déspotas, dicen que quien les ataca es un enemigo y son capaces de matarlo para llamarse a sí mismos héroes, esas palabras las podría usar Gadafi, Castro, Sarkosy, Rockefeller, Soros o cualquier otro señor feudal del planeta.  

Hoy, en pleno 2011, hemos arribado al siglo XXI. Estamos ya rehaciendo historia, una que nos dijeron mañosamente que se había terminado con la caída del muro en Berlín y que, aunque genuinamente jamás dejó de correr,  fue declarada en reposo obligatorio por los oligarcas que se creyeron ya reyes de la tierra. Hoy estamos ya en el inicio de una nueva manera de pensar y actuar, quizás estamos arribando a una etapa de democracia verdadera que puede durar unos meses, unos años o al menos un siglo. Ello lo sabremos a medida que los ciudadanos libres sigan rescatando sus Estados, sus calles, sus espacios.

La democracia sólo puede existir en la laicidad, en la diversidad, en la apertura de las ideas y la creatividad, en el no prejuicio, en la comprensión, entendimiento y en la educación. Algo que a los oligarcas les enferma porque saben que si se elimina la idea de dios y sus religiones y la gente ejerce con alegría su conciencia el poder despótico y tirano morirá.



lunes, 24 de octubre de 2011

Indígnate gay.


Manuel  García Estrada

En mayo 15 miles de españoles salieron a mostrar su indignación por las medidas anti sociales de su gobierno que les ha venido quitando derecho al bien-estar. Desde aquel día las ideas del cambio comenzaron a viajar por todas ciudades del planeta y se fueron sumando a la indignación docenas de sueños e ideas para construir un mundo mejor, un mundo justo.

Este mismo verano el Papa Benedicto XVI, quien fue director de la Doctrina de la Fe, antes llamada Santa Inquisición, visitó Madrid para la Jornada Mundial de la Juventud y miles de indignados revelaron al mundo que el gobierno español financió con millones de euros dicho espectáculo religioso. El encontronazo en las calles fue inevitable y manifestantes laicos confrontaron a los católicos asistentes triunfando la indignación en ello ya que los activistas por el cambio convencieron a muchos católicos que era aberrante que la laicidad fuera violada. En esa acción social la comunidad LGTB de Madrid se hizo presente y demostraron que la fuerza de las razones es capaz de acallar dogmas milenarios absurdos.

Las semanas han seguido pasando y los indignados siguen reproduciéndose haciendo que más personas en el mundo despierten a la consciencia rechazando que una religión impere sobre otra porque si algo tenemos claro en la realidad actual es que un Estado laico es la única posibilidad de convivencia armónica. Lo demás es un desastre. De hecho democracia sin laicidad equivale a totalitarismo.



El 15 de octubre en más de 1,500 ciudades de más de 90 países salieron ciudadanos a exigir democracia verdadera, respeto a la diversidad, justicia financiera, derechos sociales y paz nacida en el bien-estar de todos, en muchos lugares los LGTB que ya despertaron salieron con sus banderas y es que no se debe estar fuera de este cambio de época.

El mismo 15 de octubre por la noche en la ciudad de México y Puebla nacieron acampadas o plantones que los LGTB debemos apoyar. Sea llevando víveres, papelería y por supuesto participando en las asambleas porque en este nuevo amanecer de la humanidad debemos estar de manera abierta y contundente. No podemos quedarnos en casa quejándonos, además ¿no ha sido así desde siempre? Hay que apoyar a los que exigen justicia porque nosotros necesitamos justicia.

Los indignados LGTB podemos exigir que haya matrimonio universal, laicidad real, democracia verdadera, adopción para todos, fin a la homofobia, justicia plena. Y eso sólo podrá alcanzarse si se asiste a las acampadas, si se participa en las asambleas, si se acude a las manifestaciones pacíficas de manera inteligente y creativa.

Estamos en un momento medular en la nueva historia del mundo, muchos de hecho aseguran que los indignados marcan el inicio real del siglo XXI alejándonos del capitalismo mordaz, el conservadurismo oscuro y miserable que ha permitido todo tipo de abusos y ha llevado a las emociones a los aparadores de la compra-venta para destruir el sentido humano de comprensión y genuino amor.

No importa la edad que tengas, lo importante es ser actor de este cambio que a todos atañe porque los partidos políticos y los políticos mismos se han hecho de la vista gorda en muchos aspectos de hecho dicen una cosa y acaban haciendo otra. Es hora de pensar en el mundo porque aunque hemos alcanzado triunfos locales pero debemos hacer que en todas partes todos los homosexuales, lesbianas, transexuales o bisexuales podamos circular libremente por las calles, montar empresas, casarnos y/o divorciarnos, adoptar, es decir: ser.

Hoy más que nunca nos podemos dar cuenta que no estamos solos, que los humanos somos uno solo y que podemos, con mucha determinación y de manera creativa, cambiar al mundo. Deja de lado las viejas creencias que has aprendido en las escuelas influenciadas por los neoliberales y católicos. Es hora de hacer realidad los sueños que parecían imposibles.

Indígnate y actúa, que no podemos seguir chillando y quejándonos, el destino de la libertad está en nuestras manos así que acude y apoya a las acampadas de Puebla, Bolsa Mexicana de Valores y Coyoacán, saca una cuenta de Twitter y busca los ejes temáticos de la indignación mundial y las movilizaciones en Nueva York, Madrid, París, Tel Aviv, Berlín, Buenos Aires, Santiago, Sao Paolo, Chicago, Miami, Monterrey y Ciudad de México. Todos estamos peleando de manera inteligente por hacer del mundo un espacio donde todos tengamos cabida y podamos tener un bien-estar.



¿Y el cambio apá?


Manuel García Estrada / Milenio/ 
Serie: Aceptando la realidad, parte II.


No hay posibilidad de cambio mientras la sociedad sea hipócrita, mientras se siga atentando contra el talento, la inteligencia y el esfuerzo. Es difícil que haya cambio cuando lo que impera es el chisme, la envidia, la mediocridad, la mentira.

Cuando un individuo desea hacer cambios sociales lo más determinante será su empeño y la capacidad persuasiva sobre los demás aunque no participen con el mismo entusiasmo. Es común que muchos hablen y critiquen, se quejen y sufran, pero muy pocos son los que actúan, los tontos son los que teniendo una leve consciencia creen que hay que hacer que toda la gente crea y actúe a favor de la evolución, ingenuos o inmaduros quizás pero sobre todo estúpidos porque reinciden en el error. Los grandes cambios de la humanidad no lo han hecho los pueblos del mundo, los han generado un puñado de individuos determinados a construir una posibilidad diferente.

En una comunidad alguien crea una idea para la mejora social, lo habla con algunas personas y esa fuerza es capaz de incidir en la agenda de gobierno, en el orden urbano o ambiental, pero si se empieza a creer que es sólo a través de grandes convocatorias y movilizaciones como se alcanzará la mejora difícilmente lo harán. Los gobiernos, la iglesia, siempre apuestan al desgaste de los movimientos y corrompen, siempre será más fácil disgregar asuntos con varias cabezas que un grupo compacto y unificado con ideas claras y principios superiores.

El que obstaculiza la evolución es el inmaduro, el ingenuo, el tonto, el mediocre, el simulador, el hipócrita, el corrupto, el dogmático, ellos son adiestrados por la escuela y la religión para ser corderos y no dudar, no cuestionar y mucho menos para violentarse ante algo intolerable o al menos son domesticados para ser comparsa de los atropellos e injusticias. Desde la perspectiva del desarrollo del intelecto es claro que la violencia no lleva a la verdadera justicia pero tampoco su más honesta aliada que es la apatía, en la que caen  las masas.

La apatía es una violencia a la que se le cuestiona reclamando pero a la que no se le analiza a profundidad porque ello llevaría al despertar de todos los que son huevones mentales y holgazanes de la vida. Los apáticos son los que se conforman, los que prefieren seguir arrastrándose con la falta de dignidad a levantar el puño, la voz y la mirada hacia lo que debe ser correcto en nuestra sociedad. Eso es, definitivamente, un acto violento porque daña de manera brutal a las nuevas generaciones condenándolas a ser parte de una manada y no a ser ciudadanos.

La humanidad ha sido desmantelada en su ética, en su moral, porque los que se creían dueños de ellas han preferido sacrificarlas a permitir la laicidad de ambos conceptos. Estamos en una época muy bien construida donde el pensamiento neoliberal, se ha hecho dueño de las neuronas y billetes de los que ejercen el poder y de los que mansamente están dispuestos a someterse. Es tan enemigo del desarrollo el empresarios rapaz y explotador como su esclavo trabajador sin derechos y conformista, ambos hacen que el mecanismo funcione, por ello para romperlo no hay cabida para la convocatoria masiva porque lo que más hay son pobres.

Los movimientos como “indignados” están creciendo entre clases medias, no entre los miserables ya que ellos no tienen internet, libros o posibilidad de debate porque están primero que nada preocupados por sobrevivir y permanecen, como consecuencia de su bajo nivel educativo, en su cómoda mediocridad creyendo que el mundo es justo por gracias de dios. Para indignarse se debe tener dignidad y hay quienes eso no lo conocen.

Anecdotario (sólo para blog por espacio).

1 El apático.
Conocí hace tiempo a un joven con voz magnífica pero se la pasaba quejándose de que nadie le hacía caso, de que necesitaba impulso. Cuando la familia decidió apoyarle le dieron los recursos para marcharse a la capital estudiar música y canto. Pasaron los meses, pasaron los años, la preciosa voz acabó siendo una posibilidad no usada de talento, el muchacho seguía quejándose, se cambiaba de escuela, decía que haría un disco, nunca lo hizo. Sus padres le financiaron el proyecto pero jamás lo hizo. Actualmente ese joven canta en un bar y se mantiene creyendo que el universo conspiró en su contra, no cree en el cambio, no cree en el esfuerzo, quisiera que el disco que tiene en mente existiera y quisiera presentarlo en el Auditorio Nacional y ser famoso y millonario... pero lo quiere todo hecho. Su nivel intelectual es tan bajo que no ha leído un solo libro en al menos 5 años. Se sigue quejando. Se sigue haciendo pendejo.

2 El mediocre.
He conocido escritores a los que de plano hay que hacerles todo el trabajo de difusión, pagarles sus presentaciones del material, publicidad, llenar los auditorios donde son invitados, se quejan de que nadie lee pero no quieren ser buenos lectores en voz alta, no quieren platicar con la gente que no sabe del tema del que hablan y se mantienen siendo mamones y divas cuando ni siquiera son capaces de trascender más allá de un grupo poblacional muy reducido.
Se quejan del país pero no quieren aportar nada a la sociedad, quieren ser leídos pero no quieren ir a las escuelas a platicar con los niños del porqué es importante leer, del porqué es importante llenar la mente de ideas de otros para construir nuevas realidades.

3 El envidioso.
Conozco pseudo gestores culturales que no han hecho nada importante pero que critican todo lo que se produce, son dueños de la verdad pero la verdad es que lo que hacen es inútil, intrascendente y buscan siempre aleccionar a los que si hacen y producen de manera venenosa y envidiosa.

4 El ladino.
He visto a muchos maestros excelentes quejarse de su sindicato y autoridades pero viven aterrados con el miedo a perder su plaza, su empleo, se quejan de sus compañeros pero no quieren apoyarlos y esperan siempre ser apoyados. 

5 El hipócrita.
Hay millones de seres que son incapaces de reflexionar sobre la existencia de dios, sin embargo y pese a que no creen en la institución religiosa andan por la vida obedeciendo ideas milenarias inútiles y contra natura, condenan entonces a la homosexualidad y si un día se descubren gustosos de los seres del mismo género agachan la cabeza, tienen sexo con quien sea, se casan y se mantienen condenando aquello que da posibilidad de ser libres.

Este individuo se ha acomodado bastante bien en la silla del juez y parte, del amable y el grosero, del mediocre, del hostil, del conservador y del cerrado de la mente porque ello le permite ser parte de un grupo, el tener aceptación por parte de otros que no importa que sean igual de patéticos que él y dañen a los jóvenes sumiéndolos en las mentiras y la ignorancia, en el odio y la envidia.